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Forschungen zur antiken Sklaverei betreffen historische, rechts-, religionshistorische und sozialgeschichtliche Aspekte. Die von Jurgen Blansdorf vorgelegte Interpretation aller ca. 900 Ausserungen Ciceros unter mentalgeschichtlichem Aspekt ergibt, dass die Stadtsklaven und Freigelassenen der spaten romischen Republik - vor kurzem auch sie noch Sklaven - als Fachleute und Personlichkeiten geschatzt und respektiert wurden. Sie waren Buchhalter mit direktem Zugriff auf das Barvermogen ihrer Herren, Bibliothekare und Arzte, waren in die politischen Ereignisse eingeweiht, als Briefboten sogar Geheimnistrager und hatten ihre Herren auch in Finanz- und Rechtsgeschaften zu vertreten. Verbrechen begingen sie immer nur auf Befehl ihrer Patrone. Es ergibt sich aber auch, dass Cicero und seine Zeitgenossen keine unubersteigbare Grenze zwischen der Existenz von Freien und Unfreien sahen. Die Gefahr, die Freiheit zu verlieren, bestand schon immer in realer wie politischer und moralischer Hinsicht. Gerade die neuen Machthaber hatten gelehrt, welche Rechte den romischen Burgern unter der Tyrannei Caesars und seiner Nachfolger verloren zu gehen drohten.