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In dit boek neemt Wim Daniëls ons mee naar de tijd van zijn jeugd: de jaren vijftig en zestig. Een tijd waarin het leven wat trager ging. In het dorp waar hij opgroeide woonden nog boeren die soms met hun vee de weg blokkeerden en in alle rust het verkeer lieten wachten. In de zomer stonden de mensen 's avonds buiten op de stoep. Er waren kruideniers waar je op rekening kon kopen. Nog lang niet iedereen had een tv, maar als kind mocht je op woensdag- en zaterdagmiddag gaan kijken bij die ene familie in de straat die al wel een toestel had. Thuis waren er de hoorspelen op de radio. Melk was nog de witte motor en kolen waren nog de zwarte brandstof. En op zaterdag zat Wim in de teil, in het troebele water, want hij was de jongste thuis. In 'De vervlogen tijd' schetst Wim wat er was en nu niet meer is, soms met weemoed, soms met een zucht van verlichting.