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Giovanni Orellis Erstling «Der lange Winter» wurde 1964 noch im Manuskript mit dem Veillon-Preis ausgezeichnet und machte den Tessiner Autor mit einem Schlag bekannt. Nüchtern und präzis schildert Orelli die Bedrohung eines kleinen Dorfes im Bedrettotal durch gewaltige Schneemassen und zeigt, wie «die vordergründige Realität sich allmählich in Versatzstücke auflöst und das Vertraute dem Unheimlichen weicht» (Alice Vollenweider). Die Bewohner müssen entscheiden, ob sie im Dorf bleiben wollen oder ob sie ins sichere Tal ziehen. Unter dem Druck der Lawine verlieren die Alten Einfluss, die Jungen setzen sich durch, voller Neugier auf das, was sie erwartet.Mit «Der lange Winter» verabschiedete sich Giovanni Orelli vom Bedrettotal, wo er aufgewachsen ist, ebenso wie von der Tessin-Idylle. Der Ich-Erzähler beschwört sich denn auch selber: «Schwöre, dass du niemals rührende Elegien auf dein Dorf schreiben wirst.»