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ZUERST KOMMT DAS FRESSEN, DANN DIE MORAL. Der 4. Juli 2001 ist der Tag, der die Welt des Wettessens für immer umstürzt: Takeru Kobayashi, ein schmächtiger Japaner, stopft in 12 Minuten mehr Hot Dogs in sich hinein als je ein Mensch zuvor. Und demütigt damit seine amerikanischen Konkurrenten: Ed Krachie, ein weißer Automobilieningenieur, und Charles Hardy, ein schwarzer Besserungsoffizier, versinken in Selbstmitleid und Hass auf ihren japanischen Gegner. Als wäre das nicht genug, taucht dann auch noch Sandra mit ihrer veganen Clique beim Wettessen auf - und es kommt zu einem unausweichlichen Zusammenprall von Welten, die gegensätzlicher nicht sein könnten ...
Mit großer Raffinesse und feinsinnigem Humor beleuchtet Clemens Berger die Normalität des Wahnsinns. Und liefert mit "Die Wettesser" einen Roman, der an den Puls der Zeit fühlt, und sich äußerst unterhaltsam liest.
"Eine Parabel auf unsere Gesellschaft, die von Clemens Berger mit einer großen Portion Augenzwinkern und sprachlich ausgezeichnet erzählt wird!"