Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Et si le chemin le plus court entre le ciel et la terre passait par la poésie ? Cette question lancinante obsède le poète Tigrane Yégavian qui dans ce recueil poursuit son cheminement amorcé avec L’Adieu au Levant. Dans cette continuité, il revisite des espaces qui lui sont chers en quête d’un « je » insaisissable ; se laisse bercer par les sirènes de l’amour humain sans perdre de vue qu’il n’appartient pas à ce monde. Son univers n’est pas encore visible, qu’il s’attache à le décrire comme s’il cherchait à se réconcilier avec son temps. En pèlerin amoureux, il arpente le Liban, l’Arménie en passant par Paris, Genève, Tunis. Une géographie de la mémoire censée aboutir à sa propre cohérence. C’est d’unité dont il est question et du besoin de ressentir cette autre présence qui rend notre réel supportable.