Un essai qui explore la création poétique en mouvement, à travers la figure de Christian Hubin et l’héritage de Hölderlin, Celan, Verhesen et Du Bouchet. Éric Brogniet décrypte le dilemme du langage, la puissance du silence, la radicalité du fragment et la force du vide : une « tectonique du verbe » où le poème devient accélérateur de particules, appel à approcher l’essentiel face à l’instabilité du monde.
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