
Frederick William Faber 1814-1863
De l'Université d'Oxford à l'Oratoire de Londres
Si en comparant deux choses on pense que l'une est plus importante que l'autre, on a tendance à penser que cette autre n'a guère d'importance. C'est encore plus vrai quand il s'agit de comparer John Henry Newman et Frederick William Faber, chacun des Oratoriens ayant ses partisans.
Maintenant que Newman a été canonisé et que le temps de la comparaison est passé, intéressons-nous de plus près à la courte vie et à l'oeuvre immense de Faber, pour lui rendre un hommage qu'il mérite amplement. Non seulement ses hymnes sont encore chantés dans toutes les églises de langue anglaise, anglicanes et catholiques, mais il a su faire en moins d'une décennie, dans des circonstances difficiles et avec fort peu de moyens, de l'Oratoire de Brompton, un phare pour les catholiques de Londres mais aussi pour les catholiques du monde entier.
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