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Deutschland, 2022. Dawn of the Dead passiert nicht mehr zuhause im Wohnzimmer auf dem Bildschirm, sondern draußen vor der Haustür. Zombie-Walks sind keine witzige Life-Action mehr, sondern grausame Realität. Städte sind abgedichtet, Straßen gesperrt, Menschen auf der Flucht. Eine kleine Kolonie Überlebender hält sich tapfer in der Abgeschiedenheit des Oberpfälzer Hinterlands. Hier, wo vorher glückliche Kühe auf saftig-grünen Wiesen weideten, zerreissen nun Starkstromzäune die pittoreske Heimatfilmromantik. Das Leben ist im Standby-Modus. Zerknitterte Fotos an der Kühlschranktür verhöhnen einen mit Momentaufnahmen aus besseren Zeiten. Zukunft gibt es nur noch im 24-Stunden-Format. Ob sich das jemals wieder ändern wird?Teil II: FluchtAlles ist erlaubt, solange man es aus Liebe tut. Auch wenn diese Weisheit vermutlich keinem hochliterarischen Werk, sondern eher der Brigitte-Zeitschrift entspringt, hält Lissy daran fest. Der Zweck heiligt schließlich die Mittel und über Leichen gehen ist in diesen Zeiten ja ohnehin obligatorisch. Wenn sich dann noch vorteilhafte Allianzen ergeben, könnte es eigentlich gar nicht besser sein. In ihrer Verblendung verkennt Lissy allerdings, dass Liebe nicht die einzige Währung dieser Zombie-Apokalypse ist und so mancher Preis unbezahlbar.