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Nur wenige Tage nach Ausbruch des Ersten Weltkrieges meldete sich der 21-jahrige Kunststudent Bruno Jacob als Freiwilliger. Wie viele andere Kunstler seiner Generation wechselte er begeistert Feder und Pinsel gegen Gewehr und Soldatenleben. Von der Front schrieb er regelmassig an seine Geliebte, die Kunstlerin Lieselotte Friedlaender, die wie er bei dem Expressionisten Georg Tappert studierte. Die Briefe und Postkarten sprechen von Enthusiasmus und Siegeshoffnungen, enthalten jedoch zunehmend drastische Schilderungen von Gewalt, Kampf und Tod. Kurz vor Kriegsende fiel Bruno Jacob an der Ostfront. Er gehort damit zu den vielen jung verstorbenen Kunstlern, deren Werk unvollendet blieb. Durch gluckliche Umstande sind seine Briefe aus den Kriegsjahren 1914 und 1915 fast vollstandig erhalten. Die hier erstmals publizierten, bewegenden Schriftstucke vermitteln einen intensiven Eindruck von den gescheiterten Hoffnungen einer im Aufbruch befindlichen Kunstlergeneration im fruhen 20. Jahrhundert.