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Josette Clotis, décédée en 1944 à l'âge de 34 ans, fut la compagne d'André Malraux et la mère de ses deux fils. Miraculeusement conservés dans une valise photos, lettres, journaux et textes inédits de cette splendide et talentueuse romancière permettent de brosser un portrait enfin exact d'une autrice de talent et d'une amante passionnée, dont l'image a trop souvent été salie. 50 ans après la mort d'André Malraux, des documents inédits réhabilitent la mère de ses fils L'histoire commence avec une valise retrouvée : celle dans laquelle étaient amassés les photos, lettres, journaux intimes et nouvelles manuscrites de Josette Clotis, morte le 12 novembre 1944 en gare de Saint-Chamant (Corrèze), à l'âge de 34 ans, les jambes broyées par un train. Depuis 1933, elle était la compagne d'André Malraux à qui, sous l'Occupation, elle avait donné deux fils, Gauthier et Vincent, qui mourront eux aussi tragiquement dans un accident de voiture, en 1961. Valise parvenue après-guerre entre les mains de Suzanne Chantal, amie intime et biographe de Josette. À son arrivée à Paris en 1932, cette magnifique jeune femme avait fait une percée météorique dans le monde des lettres et de la presse, autrice de deux romans régionalistes, le premier préfacé par Henri Pourrat, le second salué par Henry de Montherlant, en même temps qu'elle devenait chroniqueuse pour l'hebdomadaire Marianne, publié par Gaston Gallimard. C'est dans les locaux de ce dernier qu'elle fit la rencontre décisive de l'auteur de La Condition humaine, avant de l'accompagner en Espagne, au grand dam de Clara Malraux... Si ces faits sont connus, Josette Clotis a pâti jusqu'à nos jours d'une triste réputation : maladivement jalouse, romancière médiocre, arriviste et intrigante, elle aurait retardé l'entrée en Résistance de Malraux, pourtant peu influençable. Les auteurs de ce livre ont eu à cœur de corriger cette image, à l'aide de nombreux documents inédits qui révèlent une amante passionnée, une mère aimante et une écrivaine qui n'a jamais cessé d'écrire. En annexes, le lecteur trouvera quatre nouvelles inédites, des chroniques parues dans Marianne, ainsi que d'étonnants Conseils au jeune homme, que Gauthier lira et commentera... quinze ans après la mort de sa mère. Des photos inédites complètent cet ouvrage qui paraît l'année du cinquantenaire de la mort de Malraux.