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Studienarbeit aus dem Jahr 2010 im Fachbereich Philosophie - Philosophie des 20. Jahrhunderts, Note: 1,3, Friedrich-Schiller-Universität Jena (Philosophie), Veranstaltung: Theorien der begrenzten Rationalität, Sprache: Deutsch, Abstract: Der Mensch ist ein begrenzt rationales Wesen. Dieser Satz scheint sehr selbstverständlich zu sein. Dennoch gab es Zeiten in der Philosophiegeschichte (u.a. Platon), in denen solch eine Vorstellung, von der begrenzten menschlichen Vernunft, nicht selbstverständlich war. Doch alleine der Fakt und die Kenntnis der Bounded Rationality reicht nicht aus, um menschliches Verhalten in sozialen Systemen oder in Interaktion mit anderen Individuen zu erklären bzw. Anleitungen für soziales Verhalten zu geben. Es ist demnach nötig Strukturen zu entwickeln, die dieses leisten können. Ausgehend von der begrenzten Rationalität eines Individuums muss im nächsten Schritt der Interaktionsraum betrachtet werden. Zur Bezeichnung dessen wird häufig der Begriff der Umwelt genannt. Im Gegensatz zur Vernunft des Individuums können hier keine Grenzen abgesteckt werden. Die Umwelt ist kontingent und mit einer hohen Dichte und Frequenz an Informationen bzw. Reizen durchzogen. Da der Mensch aber qua begrenzter Rationalität nur eine begrenzte Menge an Informationen aufnehmen und verarbeiten kann, kommt es zu einem augenscheinlichen Dilemma in der Verbindung Mensch-Umwelt, dessen Auflösung (direkt oder indirekt) das Ziel von Sozial- und Verhaltenswissenschaften ist. So steht auch die Soziokybernetik in dieser Tradition. Auf der Grundlage des von Norbert Wiener geprägten Begriffes der Kybernetik als Nachrichtenübertragungstheorie versucht die Soziokybernetik gesellschaftliche Interaktionen zu objektivieren, zu strukturieren, um so Aussagen über Verhalten treffen zu können. In der vorliegenden Arbeit soll genau dieser Fakt beleuchtet werden.