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Die Beziehungen zwischen der DDR und der Sowjetunion wurden bislang vor allem unter dem einseitigen Blickwinkel einer Sowjetisierung von Staat und Gesellschaft betrachtet. Michelle Klockner untersucht hingegen die Auswirkungen wechselseitiger deutsch-sowjetischer Kultur- und Freundschaftsbeziehungen. Sie fragt nach den Bildern und Botschaften, die den Bevolkerungen vermittelt wurden - gerade vor dem Hintergrund der belastenden Erfahrungen des Zweiten Weltkriegs. Neu ist dabei die Konzentration auf eine einzelne Sowjetrepublik: Klockner betrachtet Handlungsspielraume und Optionen einer belorussischen auswartigen Kulturvermittlung, stets in enger Ruckkopplung mit sowjetischen Vorgaben. Im Mittelpunkt der Studie steht die Arbeit der beiden staatlichen Freundschaftsgesellschaften. Sie arbeiteten in den spaten 1950er Jahren im Zuge der Konsolidierung der sowjetischen Einflusssphare nach der Entstalinisierungskrise auf eine Volkerfreundschaft hin: Dieses Ziel sollte mittels Kultur- und Informationsveranstaltungen, "betreutem" Tourismus und omniprasenter Freundschaftspropaganda erreicht werden. Die Praxis entsprach jedoch nicht immer den Planen der "Freundschaftsmacher".