L'Afrique n'a pas besoin des hommes forts mais plutôt des
institutions fortes pour promouvoir la démocratie et la bonne
gouvernance. Le tripatouillage des constitutions est devenu un
sport favori des gouvernants. Le parti au pouvoir change les
textes pour s'éterniser aux affaires. Aujourd'hui, c'est plutôt le
vent de la modification des constitutions qui ravage l'Afrique.
À ce niveau deux tendances apparaissent :
Le respect des institutions et la bonne gouvernance doivent
contribuer à l'amélioration des conditions de vie, les cadres
sociaux et économiques au service du développement durable,
de la lutte contre la pauvreté et de la sécurité humaine.
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