Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Bereits Franz Kafka (»Müßiggang ist aller Laster Anfang, aller Tugenden Krönung«) und Igor Strawinsky (»Ich habe keine Zeit, mich zu beeilen«) wussten: Wer langsam geht, kommt auch zum Ziel. Zu dieser Erkenntnis ist auch der vielfach ausgezeichnete Kabarettist Matthias Egersdörfer gelangt. Nach einer Phase radikaler Selbstentschleunigung feiert er das Phänomen der Langsamkeit nicht nur mit einem neuen Bühnenprogramm, sondern auch in einer mit Illustrationen von Timo Reger versehenenPublikation.Das Spektrum der in »Langsam« versammelten Geschichten reicht dabei von Qualen aufgrund von Entscheidungsunfähigkeit bei der Brotauswahl über unschöne Begleitumstände beim Zubereiten einer wohlschmeckenden Zucchinicremesuppe bis zur Verweigerung leichter handwerklicher Tätigkeiten im Rotlichtmilieu. Matthias Egersdörfer bekennt: »Ich bin von Grund auf langsam. Ich schneide Zwiebeln langsam, ich denke langsam und ich spreche in der Regel auch nicht besonders schnell. Mit einer trägen Wucht stemme ich mich mit meinen Texten gegen die Schnelligkeit der Welt.«»Eins, zwei, drei im Sauseschritt / Läuft die Zeit, wir laufen mit«, warnte bereits Wilhelm Busch, und auch Matthias Egersdörfer rät, am Morgen nicht gleich »hineinzufahren in die Zwickmühlen des Tages, in denen die Existenz gestreckt und gezerrt wird, bis die Knorpel knirschen«, sondern erst einmal in aller Ruhe »die Kaffeeflecken auf dem Tisch zu betrachten« und darauf zu achten und wertzuschätzen, »wie unerhört elegant sich der braune Kringel auf der Holzplatte krümmt.«Dann wird vielleicht auch nicht alles gut, aber zumindest ein wenig besser.