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Les Kouya (appelés aussi Sokya ou Sokuya) appartiennent à l’une des plus petites ethnies de Côte d’Ivoire. De récentes recherches ont permis de reconstituer leur parcours migratoire. De la région de Divo, ils se sont déplacés vers celle de Vavoua pour échapper, au XVIIᵉ siècle, à la traite négrière qui sévissait alors le long du fleuve Bandama. Si cette communauté peu connue s’est parfaitement intégrée à son nouveau territoire, elle a été fortement déstabilisée, durant la seconde moitié du XXᵉ siècle, par une déforestation systématique et incontrôlée. Cette destruction du couvert arboré a non seulement perturbé l’équilibre écologique de la région, mais aussi provoqué une chute progressive des revenus des habitants. Pression démographique difficilement gérable, due à une trop forte affluence de migrants du Sahel ; manque de terres agricoles ; appauvrissement des sols ; sécheresses à répétition ; forte baisse de la production de cacao… Autant de facteurs peu réjouissants qui découragent les jeunes adultes et les poussent à choisir l’exode rural. Mais quel futur pour ceux qui s’en vont ? Et quel avenir pour les courageux habitants qui ont choisi de rester ?