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Y a-t-il plus grand trauma que de perdre sa mère du fait de son père ? Partant d’un angle mort des féminicides, Delphine Saubaber nous plonge dans un roman déchirant d’une sidérante vérité.
"Vous voulez que je vous ouvre ma tête pour aller voir dedans ? Si j'étais vous je voudrais pas savoir."
C’est un homme inquiet qui appelle la gendarmerie parce qu’il est sans nouvelles de sa femme. C’est une infirmière aimant marcher seule quand le sommeil la fuit. C’est un petit garçon avec des yeux profonds comme des lacs et qui a perdu sa mère.
Mathis a six ans. Entendu par les gendarmes et une psychiatre, il est le dernier témoin du fait divers qui s’abat sur lui et les siens. Alors il répond, hésite, se reprend, raconte son quotidien fait de jeux et de baisers sur le front. Questionne l’attente. Car lorsqu’on disparaît, c’est bien qu’on est encore quelque part, non ?
Ça commence dans le Narbonnais, juste avant Noël. Un couple sur le point de se séparer, des étangs fouillés sans relâche, un enfant seul. Et c’est sa voix qu’on entend. Voix de tête dans ce roman où amour, violence et solitude sont disséqués par les principaux intéressés en un long chant qui se déploie jusqu’à l’inexorable.