«Seuls les musulmans iront au paradis», affirmait
sa grand-mère quand elle était enfant, dans une ville
paisible de l'Algérie coloniale des années cinquante.
Pourtant ses parents l'éduquent en français, la
langue qui donne accès à «la plus belle des
cultures» - même si pour une petite Algérienne
d'avant l'Indépendance, cette langue n'est pas celle
de la tendresse.
Mohamed Dib dit de ce roman : «C'est une bien belle
oeuvre que vous avez écrite là, si juste de ton, pudique
et passionnée à la fois... Vous avez une voix bien à vous,
et cela fait de votre oeuvre l'une des plus belles qu'il m'ait
été donné de lire depuis longtemps»
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