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On a coutume, depuis Voltaire, d'opposer Corneille et Racine à Marlowe et à Shakespeare. Leurs traits communs, par contre, sont passés sous silence. En relèvent pourtant quantité d'objets, parties intégrantes de leur univers tragique et qui, anodins parfois en apparence, n'en sont pas moins porteurs de germes mortels: le mouchoir de Desdémone, la pomme d'Ève et, cela va sans dire, l'épée de Rodrigue, les poisons de Médée ou, à la limite, la tête qui trame le crime et la main qui l'exécute. À ce jour, les objets, rouages de l'action dramatique, constituent un domaine encore largement en friche que ce livre tente d'explorer dans l'oeuvre des classiques français, des dramaturges élisabéthains, de Vondel et dans d'autres textes peu connus. Au delà de leur recensement, il s'agit avant tout d'en définir les fonctions, de les localiser dans l'intrigue et, plus spécialement, de montrer dans quelle optique ils étaient envisagés à l'époque. On pourra mesurer ainsi toute la distance qui nous sépare des façons de voir propres à la tragédie du XVIIe siècle dans les régions jouxtant la Manche et la mer du Nord, territoire dont l'essor économique et les débats socio-politiques ont profondément marqué les destinées de notre continent. À cet égard, l'éclairage inédit adopté dans ces pages, se penchant également sur des auteurs peu connus, permet d'enrichissantes comparaisons du point de vue de l'histoire des formes et des idées.