Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Joao Antonio hace en las esferas malditas de la sociedad urbana lo que Guimaraes Rosa hizo en el mundo del sertón, es decir, elabora un lenguaje que parece brotar espontáneamente del medio en el que es usado, pero en verdad se vuelve lengua general de los hombres, por ser fruto de una estilización eficiente. Una de las cosas más importantes de la ficción literaria es la posibilidad de "dar voz", de mostrar en un pie de igualdad a los individuos de todas las clases y grupos, permitiendo que los excluidos expresen el tenor de su humanidad, que de otro modo no podría ser verificada. Eso es posible cuando el escritor, como Joao Antonio, sabe abrazar la intimidad, la esencia de aquellos que la sociedad margina, pues él hace que existan por encima de su triste realidad. En los cuentos de este libro, pero sobre todo en los finales, es un verdadero descubridor, al develar el drama de los desheredados que hierven en el bajo mundo; de los que viven de las sobras de la vida y él trae con la fuerza de su arte al nivel de nuestra conciencia, es decir, la conciencia de los que están del lado favorecido, el lado de los que excluyen. Por la fuerza de la escritura, el peso de lo humano y el coraje de mostrar las entrañas de la ciudad, la obra de Joao Antonio puede ser considerada una de las más elevadas de nuestra literatura contemporánea, al representar con tanta maestría "el triste juego de la vida".