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Max Mohr (1891-1937) ist heute vergessen. Er war Arzt und einer der erfolgreichsten Schriftsteller der Weimarer Republik. Sogar im englischsprachigen Raum wurden einige seiner Dramen gespielt und gefeiert. Als Jude musste er 1934 nach Shanghai fliehen. Er versuchte zwar von Shanghai aus Verbindungen zu Intellektuellen und Kunstlern, so auch zu Thomas Mann (1875-1955), zu halten, es gelang ihm aber nur schwerlich. Mohr plotzlicher und fruher Tod trug auch zu seinem Vergessen bei.Die erhaltenen Briefe spiegeln einen Grossteil der Informationen wider, die uber Mohr bekannt sind. Durch ihre breite Streuung uber den Zeitraum der Jahre 1919 bis 1937 geben diese historischen Quellen einen umfassenden Einblick in Mohrs Leben, Werk und dessen Rezeption. Sie belegen auch Mohrs intellektuellen Austausch mit zeitgenossischen Grossen der kunstlerischen Szene. Der erhaltene Briefwechsel ist in diesem Band zusammengestellt und mit kurzen erlauternden Kommentaren versehen, welche unmittelbar Erlauterungen zum Leseverstandnis bereitstellen.