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Dans la suite de Ficin et la Modernité, puis De quel Zoroastre à quel Dieu ?, mes Méditations oniriques partent d’une expérience personnelle, mais sociohistoriquement contextualisée d’où mieux cerner son sens. Elles se dégagent, s’étayent et se sous-tendent de la mise au jour de la physiologie ficinienne au ressort d’un principe de vie si bien distinct de celui de Descartes qu’impulsant et révélant une raison platonicienne émergente bien avant que pure. Une telle raison met en jeu un conatus original et distinct de celui de Spinoza, car elle en est d’autant apte à perdurer qu’à rendre ses idées représentatives. La thèse est simple et radicale : Dieu ne peut nous paraître immanent à la nature, comme le prétend Spinoza, que selon nos âmes qui y sont imaginatives avant que pensantes et c’est pourquoi il y a des méditations oniriques avant que métaphysiques, au sens cartésien. Le rêve, sinon le fantôme, donne sens et se joint tel avec le son au ressort du langage articulé et impulse jusqu’à la raison. Chez Ficin, la vue et l’ouïe se joignent avec une émergente raison platonicienne émerveillable, comme vecteur privilégié des arts. Le sous-jacent tact les articulant ne s’y restreint que s’y révèle plus général tact pancorporel ferme et tendre comme sens universel de l’âme distinguant l’humain des autres animaux.