Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Im Katastrophenzustand des Unrechts klafft stets ein Abgrund vor dem Geschädigten. Die meisten wenden sich an die Behörden, andere bleiben mit sich selbst allein, erwarten nichts und wiederkäuen Revanchegefühle. Für alle ist das Rechtssystem da, dieses verwinkelte Gebäude der Aufklärung und der Rechtswissenschaft, das den Wunsch, das Recht in eigene Hände zu nehmen, von vornherein blockiert. Und doch fühlt sich der Geschädigte oft von der Göttin mit dem gezogenen Schwert verlassen und betrogen. Das Gerechtigkeitsverlangen lehnt sich in ihm auf, die Saat des Grolls und der Rache treibt ihre giftigen Blüten, bis das Unwesen der Verbohrtheit zähneknirschend ,Satisfaktion? reklamiert. Wenn ,der Wille zur Rache? alle Dämme gebrochen hat, dann gilt die Logik der ausgleichenden Gerechtigkeit nicht mehr und jeder Exzess wird möglich.In unterschwelliger Polemik mit Thesen Sloterdijks (Zorn und Zeit, 2008) bietet Eugenio Spedicatos neues Buch erhellende Perspektiven zum Thema Unrecht und Literatur, die u.a. rächende Gerechtigkeit teilweise rehabilitieren. Die von ihm interpretierten Texte erzählen von Rechtsbeugung im Alltagsleben, von defizitärer Rechtsordnung, Justizirrtümern und Rachejustiz als extrema ratio. Besondere Aufmerksamkeit wird dabei folgenden Werken gewidmet: Schillers Der Verbrecher aus verlorener Ehre (1786), Kleists Michael Kohlhaas (1810), Fontanes Grete Minde (1880), Franks Die Ursache (1915) und Die Jünger Jesu (1947), Wassermanns Der Fall Maurizius (1928), Torbergs Mein ist die Rache (1942), Walsers Finks Krieg (1996), Hettches Der Fall Arbogast (2001), Schirachs Der Fall Collini (2011), Urbans Wie alles begann und wer dabei umkam (2021) und Markus Thieles Zeit der Schuldigen (2024).