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Alfred Polgar meisterte die »kurze Form« des Feuilletons so konzentriert, dabei so elegant, schwungvoll und voller Esprit und Witz wie kein anderer: »Das Leben ist zu kurz für lange Literatur, zu flüchtig für verweilendes Schildern und Betrachten, zu psychopathisch für Psychologie, zu romanhaft für Romane.«Immer wieder widmete er sensible, charmante, kluge, einfühlsame Feuilletons und Porträts Tieren, wilden und in Zirkusmanegen zu bewundernden. Von Rehen und Hunden, Gans, Tiger und Hase erzählt er, von Eisbären und Löwen, von Kälbern, Stubenfliege, Maus und Schwan. Polgar: »Von den Tieren wissen wir vermutlich so viel wie die Tiere von uns. Nur haben wir die Fähigkeit und die Mittel, unsere Unwissenheit so herzurichten, dass sie wie Erkenntnis aussieht, indes die armen Tiere mit ihrer Meinung vom Menschen nichts anzufangen wissen, als bestenfalls sie zu haben.«