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En un sens, le Paradis n’est pas autre chose que l’Enfer. Tout dépend de la réceptivité de l’événement paradisiaque. Néanmoins, le Paradis ne devient pas Enfer du seul fait de le refuser librement. S’il est vrai que la liberté s’affirme en elle-même sans image, elle peut mobiliser différentes formes d’image, d’imagination et même d’imaginaire rebelle au symbolique, pour s’exprimer avec une ampleur accrue et plus intensément, à ses risques et périls, pour marquer la capacité de l’homme à se renouveler, en raison comme en folie, jusqu’à entraîner l’absence de généalogie, ce despotisme du charisme qui ruine la répétition sacrificielle mais appuie une ritualité justifiée par un événement réellement neuf, jusqu’à oser le flou qui stimule la mémoire et l’imagination comme la capacité à s’en affranchir. Les miracles participent à ce flou qui supplée aux vérités et aux lois insuffisantes, ouvrant la voie aux signes qui récusent la tyrannie des terreurs et des émerveillements. Là encore avec l’audace de l’indicible vacuité qui surmonte l’être et le néant, la personne et l’anonymat, sans que cet apophatisme oriental se réduise à une hyperbole, une emphase rhétorique. Tout ceci semble se focaliser dans la folie comme mort assumée, voulue seulement au cours de la passion soufferte en faveur de la liberté délivrée de l’homme, du divin diaconal et de la nature affranchie, non comme suicide pour s’évader de soi et d’autrui au nom d’une dignité fictive. Folie cruciale susceptible de se recevoir dans le maintenant comme un saisissement, une folie de la résistance irrévocable face à la mort spirituelle et même charnelle si le corporel s’éprouve un stigmate somatique de la liberté.