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Este libelo de corte humorístico es un texto raro dentro de la producción literaria de Gutierre de Cetina. Sobre su autoría sigue habiendo muchas dudas, aunque casi siempre se enlaza esta Paradoja con otro texto del mismo corte: el Diálogo entre la cabeza y la gorra. La Paradoja de Cetina abunda en la defensa de una postura muy clara: los cuernos no son tan malos como todo el mundo los juzga, es más, para Cetina son buenos, honrosos y provechosos. Para ello arranca el texto constatando que los hombres tenían cuernos en la antigüedad. Los tenían los gigantes y en ello radicaba su grandeza y soberbia. Pero Júpiter castigó a sus descendientes con la carencia de los mismos, para así poder domar a los humanos. El libelo se llena de citas a la antigüedad para justificar algo que, a ojos de todo ser vivo, es algo malo y doloroso, la carga de una infidelidad metafóricamente dibujada en unos apéndices en la cabeza.