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En estos recientes Prosapiens, Eduardo Milán habla del tiempo y del mundo que nos ha tocado vivir, o de cómo estamos -dicho con palabras del tupí (or not tupí)- jururus en la pindaíba, catucados y sin tapioca después del toróà Habla de la peste (la pandemia) y del gran capital. De cómo dos y tres años después seguimos en un 2020 que todavía no ha terminado («el tiempo desapareció»), y de que «no hay nada menos absurdo que lo que se vive». Habla de la petroguerra de Rusia con Europa. Pero también de que «el peligro del momento que se vive no es solo vivir y presenciar el exterminio y la extinción propia o de nuestros semejantes. Es confundirlo todo. Lo que, en el plano que sea, significa retroceder en los grados de conciencia de los que tenemos que hacernos cargo». Pero sobre todo Milán cita y confronta a grandes pensadores, creadores y poetas de ayer y de hoy, con ideas que también «dependen de nosotros». «La poesía no sabe el tiempo en que vive», dice Milán, pero «mientras encuentre un hueco donde manifestarse lo hará». Y eso hace. Aquí. En este libro de prosas de ética poética que no envejecen. Porque hay (y no hay) más tiempos que el presente. Y «la poesía es oxígeno, capacidad de respirar».Eloísa Otero