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Rohrköhlauer sind ein poetisches Interferenz-Experiment. Oder genauer, ein Dialog zwischen Fotografie und Literatur, der einer genauen Versuchsanordnung folgt: Die Fotografin Claudia Rohrauer gibt das Bild und den Rhythmus vor, der Autor Markus Köhle liefert den dementsprechend kurzen oder langen Text - je nach Bildfrequenz. Vergehen sieben Tage seit dem letzten Foto, entstehen sieben Zeilen Literatur. Bei zwei Bildern pro Tag muss entsprechend eine halbe Zeile reichen. Zusatzregeln gibt es auch: Keine Vorabsprachen, was Bild- oder Textideen angeht, und eine Versuchsdauer von einem Jahr.Das Ergebnis sind 365 Zeilen und 38 Fotos, die auf spielerische Art die Klaviatur beider Ausdrucksformen erweitern: Kühne Metaphern, die zuvor unhörbar blieben, schwappen aus den Bildern in die Texte und entfachen dort Kurzerzählungen und Wortkaskaden, die der Bildkomposition gleich mehrere Böden zu unterstellen wissen. Umgekehrt schillern die sprachlichen Nuancierungen erst richtig angesichts der exakten Bildsprache und Formenregie, sodass 38 Interferenzmuster entstehen, die beide Seiten durch ihre poetische Verdichtungsleistung zu überraschen wissen. Immer wenn dies gelingt, ohne dass sich Wort und Bild dabei zu ernst nehmen, entsteht etwas, für das es keine bessere Bezeichnung gibt als eben: Rohrköhlauer.