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"Bis auf morgen" sind die Abschiedsworte des jungen Rittmeisters, als er Victoire de Carayon in ihrem Salon in der Beriner Behrenstraße verläßt. Doch er kommt weder am nächsten noch an einem der folgenden Tage. Als die Mutter erfährt, daß Vioctoire ein Kind erwartet, ist ihr ganzes Tun und Trachten auf die Legitimierung des Verhältnisses gerichtet. Schach, ein Mann von Ehr- und Pflichtgefühl, schreckt in seiner Eitelkeit vor einer Heirat mit der "durch ein Fegefeuer gegangenen Schönheit" zurück. Das Ende kommt rasch. Nach der vom König höchstpersönlich angeordneten Eheschließung verläßt Schach seine Frau noch einmal mit den Worten "Bis auf morgen". Ein Morgen aber gibt es für ihn nicht. Er erschießt sich, bevor er seine Wohnung erreicht hat. Der unmittelbare Wechsel von Glück und Verzweiflung, innerem Frieden und äußerer Vernichtung erzeugt eine Dramatik von beklemmender Unerbittlichkeit.Die Mutter ist zum Äußersten entschlossen. Über den König erzwingt sie die Ehe des jungen, eleganten Rittmeisters mit ihrer klugen, aber häßlichen Tochter, die ein Kind von ihm erwartet. Was den Frauen die Rettung bedeutet, ist Schachs Untergang. Sein "Lebensschiff scheitert an der Klippe des Lächerlichen".Bearbeitet von Katrin Seebacher