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Cet essai attire notre attention sur l’apparition, sur la scène artistique, littéraire et médiatique, de la figure mi-sublime mi-pathétique du bourreau gentilhomme, pris au piège des circonstances, sorte de meurtrier malgré lui. En effet, partant de l’idée que les auteurs de crimes de masse ne sont pas des monstres mais des « hommes ordinaires », nombre d’auteurs travaillent à faire d’eux des victimes (de leur nature humaine, trop humaine), mais aussi des surhommes — plus cultivés, plus intelligents, plus moraux que la moyenne. Et ça plaît : par l’intermédiaire de ces œuvres à succès, lecteurs et spectateurs se prennent à rêver à leur propre potentiel de destruction massive…En se basant sur l’analyse d’une quinzaine d’ouvrages récents (romans, essais, pièces de théâtre, films), Charlotte Lacoste enquête sur les formes que revêt cette revalorisation de la figure du meurtrier de masse, et analyse les présupposés idéologiques des œuvres qui le mettent en scène.