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In der Epoche des Kalten Krieges wurde das Innenleben des Zarenstaats zumeist von oben beschrieben, also aus einer de jure-Perspektive. "Sozialkontrolle in Moskau" versucht dagegen, Legalitat und Realitat anhand eines Beispiels zu vergleichen. Dieses Beispiel ist die erste Strafkammer in der Geschichte Russlands, der Moskauer "Sysknoj Prikaz" und dessen Folgeorgan. Von beiden haben sich rund 8000 Archivalien erhalten, deren Auswertung in zweierlei Hinsicht Aufschluss verspricht: Einmal wird hier ersichtlich, ob und wie ein untergeordnetes Justizorgan die ihm erteilten Instruktionen umsetzt; zudem geben die Anklagen (von Hexerei bis zu Kindsmord oder Strassenraub) Einblick in den Wandel der registrierten Kriminalitat im fruhneuzeitlichen Moskau und in die tatsachliche Reichweite des obrigkeitlichen Herrschaftsanspruchs.