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Stefan Schmitzer verbindet in seinem Lyrikband space waste die Themenkomplexe eines himmelschreienden irdischen Müllprob- lems mit jenem des im Titel angesprochenen Weltraumschrotts, d.h. aller menschgemachter, nicht mehr funktionierender Objekte, die zunehmend eine Gefahr für Raummissionen darstellen. Schmitzers Langgedicht ist laut zu lesen, um die Kunst seiner phonema- tischen Gestaltung zur Entfaltung zu bringen. Es sind diskrepante Töne, schrille, allzu helle oder finstere, durch welche motivisch und thematisch aufgerufene Eskalationen akustische Realität erlangen. In kühner Vermischung kolloquialer, auch zotiger, mit hochliterarischen und bisweilen altertümlichen Sprachformen inszeniert der Dichter eine Art des Upcyclings von lexikalischen und morphologischen Relikten. Anklänge an die Rhetorik der frühen Neuzeit oder an Science Fiction à la Hollywood verweisen auf zeitgenössische Techno-Optimismen als Fortschreibung der magischen Tafeln und Formeln frühneuzeitlicher Alchemie über den katastrophalen Status quo hinaus.Schmitzers Lyrik begeistert durch ihre originellen Gedankenvolten und einen ebenso feinen wie skurrilen Sprachwitz, der die Unfassbarkeit einer selbstzerstörerischen Technokratie aufs Korn nimmt. Dass in unseren Lebenszusammenhängen vieles aus dem Ruder läuft, lässt der Dichter mit Raffinesse in freien, treibenden Rhythmen hör- und spürbar werden.Mit space waste legt Stefan Schmitzer eine sprachgewaltige Suada über die Spannung zwischen Wirklichkeit und Utopie industriel- len Fortschritts vor und macht mittels einer technoid anmutenden Sprachzurichtung herrschenden Wachstumsideologien den Garaus.