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Biofeedbackverfahren werden zwar häufig eingesetzt, jedoch nur selten in bezug auf die zugrundeliegenden Wirkfaktoren untersucht. Für den idiopathischen Torticollis spasmodicus (Schiefhals) wird in zwei klinischen Studien mit 207 einzelfallexperimentell kontrollierten Sitzungen erstmals gezeigt, dass sich die beobachteten Erfolge insbesondere aus den psychophysiologischen Besonderheiten der Erkrankung erklären und nur in geringerem Masse auf echte Lernprozesse zurückführbar sind. Diskutiert werden die Ergebnisse im Rahmen neuerer Entwicklungen der Hirnforschung. Der vorliegende Beitrag enthält zudem eine ausführliche Darstellung der Epidemiologie, Pathologie und Psychophysiologie des Torticollis sowie einen umfassenden Überblick über die wichtigsten Modellvorstellungen zur Biofeedbackwirkung. Abschliessend werden Möglichkeiten und Grenzen des Biofeedbacktrainings beim Torticollis ausführlich dargestellt.